lunes, 17 de diciembre de 2012

Physical.

"Las frases hechas, esperando a ser odiadas... Y con razón. Ahí están, evidenciando falsedad a raudales, como si no sobrase ya de eso. Las mentiras de siempre escuchadas, aprendidas y repetidas , malintencionadas o no, como si de una lección de la vida se tratase. Pero a veces, y sólo a veces, esconden una verdad; porque cuando digo que me duele el corazón al verte, es que el corazón me duele. Así, sin más."

Loin des yeux, près du coeur

miércoles, 12 de diciembre de 2012

Nous sa voix.

-Est-ce que je peux parler avec toi, si c'est possible?
-Oui, bien sûr...


Pendant quatre heures tout était de la lumière, de l'eau, du vert, éphémère... Je n'ai senti jamais tel sentiment d'être... vive. De sentir qu'on s'eléve. Simplement il y a pas des mots. Et à chaque fois que je ne trouvais pas des paroles, il m'a offert un calin. Mais non, c'était pas une calin. C'était une seconde naissance, en laissant ses rayons ardents dèlier mes membres engourdis.

C'étaient les heures plus belles de ma vie, plus gratifiants, plus sensorielles... Et je continue sans pouvoir m'exprimer. Je suis desolée pour tout le rest du monde, mais je ne vais sentir jamais quelque chose de si fort pour personne. Il n'aura pas mieux havre que lui, que le port qui a contruit vers l'autre monde où naissent les nouvelles couleurs, où peuvent librement errer tous les souvenirs de nos vies sur terre, oú mon coeur et mon âme seront restés.

Il a fait possible que je puisse trouver du sens a mes voyages de l'âme. Il a completement changé ma vision de la vie, de mon vie; du monde, de mon monde. Il m'a dit que je suis pas toute seule, que je suis pas l'unique, et maintenant je sais qu'il dit la verité. Maintenant je sais que mes voyages de l'âme ne sont que nos voyages de l'âme. Et il n'y a pas meilleure nouvelle que savoir ça.

C'est ma personne préférée pour tout ce qu'il a fait dans ma vie, même sans s'en rendre compte. Mais une chose a changé depuis hier: cette personne que j'avais idéalisé maintenant est réel. Il m'a parlé, il m'a souri, il m'a serré dans ses bras, et toute déception que j'ai pu craindre a été rejetée.

Mon coeur a t-il senti avant aujourd'hui? Jurez que non, car jusquà ce soir je n'avais pas vu la vraie beauté. Et c'est la beauté de l'âme de ce que je parle, et lui l'a in extremis...

C'toi.

Cette nuit j'ai rêvé de toi. Une autre fois... Tu me disais que le jour dix tu voyagerais. Je t'ai demandé où, et tu m'as dit que tu savais pas, que tu ne voulais pas passer un autre jour dix ici, que tu ne pouvais pas le supporter, et tout de suite tu commençais pleurer. Je t'ai promis que tu ne passerais pas une autre jour dix tout seul... Et puis ta copine est arrivée.


J'espère que c'était simplement qu'un rêve, mais de toute façon, je serais là tous les jours dix de ta vie.

martes, 23 de octubre de 2012

L'émeraude

Regarde au fond de nous: nous sommes l'Emeraude.

Eternelle, feuillue, qui semble une mer où rôdent des parfums à travers la nuit chaude, où circule le flot des grands anges de l'air. Nous sommes la forêt énorme et murmurante, pleine d'ombre éblouie et de sombre splendeur. Depuis la premier souffle et l'aurore premieré, d'un effort inlassable et d'un désir sans fin, ensemble, nous montons des antres de la terre vers ce but merveilleux que toi seule as atteint. Ensemble, nous et sa voix, nous son âme profonde. Nous avons abrité tous les rêves du monde, et c'est dans le soleil que nous avons grandi...



miércoles, 3 de octubre de 2012

Où peuvent librement errer...

Ce soir sans doute mon âme,
asservie, usée par les bas chagrins,
sentira le besoin de fuir sa prison de chair.
Très loin de nous, de notre temps,
elle s'en tra rejoindre les étoiles.


Elles lui parleront de sa propre existence
en des mots purs et silencieux.
Et lui montreront un chemin
menant vers les havres inconnus,
reliant ciel et terre.

Ces contrées lontaines,

où les hautes herbes dans les champs vermeils
a jamais valsent avec la lumière... 


El mundo entero se apaga cuando él emite el más leve sonido. Toda la energía del universo se encauza en un solo camino; el de su voz a mi sistema. Todo recuerdo queda envuelto en una brisa de luz que transporta al alma. Y esos no son, sino los viajes... Es él, quien me salva.

domingo, 23 de septiembre de 2012

Tollen i lû.

Why do you linger here when there is no hope?
There is still hope... 

 
With a sigh you turn away, with a deepening heart, no more words to say... You will find that the world has changed forever. And the trees are now turning from green to gold. And the sun is now fading, I wish I could hold you closer...

jueves, 20 de septiembre de 2012

If I try to touch her...

 And   I   bleed,  I   bleed,
and   I   breathe,
I   breathe   no   more.

domingo, 16 de septiembre de 2012

Paon.

Para ser sinceros, estoy totalmente en contra de la religión en todas sus vertientes, es algo que no tiene nada que ver conmigo. Es más, si hay una fuerza superior, un Dios o algo similar, estoy seguro de que también estará en contra de la religión. En mi opinión, tenemos un concepto erróneo sobre la religión, es algo que el ser humano ha tornado hacia una vertiente equivocada, al igual que la política y el dinero. Pienso que lo mejor que podemos hacer es vivir como seres individuales. Personalmente creo en algo superior, algo místico, pero estoy en contra de la religión. [...]

[...] La primera idea fue elegir algo que se acercara a la idea del mundo de Alcest, y en lugar de dibujar algo en plan ser humano, o alma, quisimos algo más enigmático y fascinante, por lo que elegimos este pavo real, un animal divino y elegante. Personalmente me parece un animal precioso, y es muy especial para mí. Divino al fin y al cabo. Si te fijas, en los conciertos llevo un colgante con plumas de pavo real.

miércoles, 12 de septiembre de 2012

Verdades como puños.

Cada día cojo el diccionario y aprendo dos palabras nuevas en castellano.
 
Soy amante de los calcetines.

Mi encantamiento favorito es el Patronus.

Llevo una foto de JRR Tolkien y una pluma de pavo real en la cartera.

Estoy empezando a creer que bebo demasiado.

Debajo de mi cama tengo una parte clave de mi infancia que no ha visto nadie.

Me encanta el olor del pollo asado.

Me da más satisfacción tatuarme que follar.

Una vez hice que mis padres me llevasen a un sitio a las cuatro de la noche porque necesitaba abrazar a una persona. Esa persona estaba de concierto en otro pueblo.

Hace exactamente un año y trece días de eso.

viernes, 7 de septiembre de 2012

BK.

No me esperaba soñar contigo tantas veces en tan poquísimo tiempo, sobre todo cuando no ha pasado aparentemente nada. Y mentiría si dijera que no me muero por saber de ti. No saber de tus estudios, ni de dónde vas a vivir, ni de los conciertos que has visto en este tiempo... Sino saber de ti. De ti el de dentro, no el de fuera. De todas las cosas sin sentido a las que le encontrábamos todo el sentido. Y también mentiría si dijera que no tengo pánico a hablar contigo. Tengo miedo de que algún día crucemos palabra y me digas "hola qué tal", porque no sabré si ese "qué tal" es un simple "qué tal, y me dispongo a preguntarte cualquier chorrada sobre tatuajes o películas", o por lo contrario es un "quiero saber cómo te encuentras". Y dado que lo más probabilísimo sea lo primero, el miedo a que nuestra relación, amistosa y no, y todo lo que eso conllevó se vea reducido a una falacia del tipo "bien y tú", simplemente me derrumba.

No sabes la de veces que he perjurado contra Odín el habérsele antojado cruzarnos durante esos precisos meses. No te merecías lo que pasó, y lo peor es que yo sabía que no lo merecías. No sabes la de veces que he dicho lo siento, lo siento y lo siento mucho. No te lo he dicho a ti ni por cuestión de orgullo ni por no sentirlo, sino porque después de todo no quería inmiscuirme en tu, espero y lo digo con el corazón en un puño, feliz vida. Ni que decir tiene que podría elogiarte de aquí a Doriath, pero no lo haré porque es harto evidente y está de más.

Y tras una semana con semejantes pensamientos de frustración y Sorgens Kammer por un tubo, he decidido ceder a mi sentimiento de misantropía, y de paso ahorrarme la angustia de ver el puto chat cada día.


martes, 4 de septiembre de 2012

N'est que la perfection...

Cela me vient en fait d’une expérience assez « spéciale » vécue lors de mon enfance et qui a laissé en moi une marque indélébile, ayant encore aujourd’hui une grosse influence sur mes croyances et ma façon de voir la vie en général. En gros j’ai eu entre l’âge de 4 et 9 ans des sortes de visions, des « rêves » éveillés sur lesquels je n’avais aucun contrôle. Ces visions me montraient une réalité ne correspondant pas à la nôtre, une sorte de paysage magique, iridescent, aux couleurs différentes de celles que l’on peut voir ici, un « paradis » impossible à décrire par les mots et habité par des êtres de lumière. Avec les années et mes recherches j’ai remarqué que cette expérience se rapprochait beaucoup de ce que décrivent après coup les gens ayant eu une expérience de mort imminente (NDE), à la différence que dans mon cas j’étais conscient. Cette expérience a été quelque chose de suffisamment fort et important pour que j’y consacre une partie de ma vie et décide de créer un projet musical afin de pouvoir l’extérioriser. Tout dans Alcest tourne autour de cette idée: musique, textes, esthétisme, inspirations. J’ai conscience que ça peut paraitre étrange, c’est pour ça que je préfère mettre tout ça en musique plutôt que d’avoir à en parler car les mots manquent. Cette expérience ne concerne que moi, je ne cherche pas à la prouver, l’expliquer et encore moins l’imposer aux gens qui écoutent ma musique. Chacun est libre de ressentir et d’imaginer ce qu’il veut en écoutant Alcest. J’aime le fait qu’un auditeur puisse s’approprier une musique en l’a liant à sa propre sensibilité et à sa propre histoire.


jueves, 16 de agosto de 2012

Summer dies away.

The rivers, the lakes, and the oceans, all stood still, and nothing stirred within their silent depths. Ships sailorless lay rotting on the sea, and their masts fell piecemeal. They slept on the abyss without a surge. The waves were dead, the tides were in their grave... And the clouds perished.

As faint as deepest sleeper's breath, an echo came as cold as death.  Long are the paths of shadow, made where no foot's print is ever laid. No moon is there, no voice, no sound of beating heart. A sigh profound.


Darkness had no need of aid from them.  
She was the universe...

lunes, 30 de julio de 2012

Souvenirs d'un autre monde.

Alcest es el testimonio de Neige sobre los recuerdos y visiones evanescentes que tenía cuando era niño, acerca de un lejano mundo fantástico: un plano de la existencia bañado por la luz, más allá de todas las bellezas terrestres.

Alcest es una música de otro mundo, un mundo que es real, pero que existe más allá de nosotros y no puede ser captado por nuestros sentidos. Un mundo donde todas las apariencias emiten una luz nacarada y donde una melodía lejana y celestial llena el aire como un dulce perfume. Un mundo habitado por infinitos protectores de la luz, que se comunican con un lenguaje sin palabras, directamente de un alma a otra. Un mundo donde el alma no conoce el dolor, la enfermedad o la tristeza, pero que llena de una profunda paz e inefable felicidad.

Este mundo no es un sueño ni una fantasía. Neige lo sabe. Lo ha experimentado y mantiene recuerdos de cómo le fue revelado a su temprana edad este mundo en forma de experiencias esotérica. Alcest es su medio para expresar estos recuerdos y compartirlos con los demás.

Algo común en todas las canciones de Alcest es el predominante sentimiento de euforia y felicidad, siempre eclipsado sutilmente por la melancolía y la nostalgia. Un sentimiento parecido al que se experimenta cuando piensas en el otro mundo de Alcest que te espera.


 ¿Y qué más decir? Ningún médico o tratamiento, novio o amigo, concierto o salida han sido capaces en tantos años de hastío en llevarme siquiera al horizonte de ese mundo. ¿Exagero si digo que le debo la vida y las ganas a esta persona? ¿Exagero si me tatúo en homenaje a él? ¿Exagero si digo que me enamoró cuando se acercó hacia mí sonriéndome como nunca antes lo había visto sonreír? ¿Exagero si me gasto todo el dinero que tengo ahorrado en ir a todos los conciertos que esté en mi mano ir?

Que lo llamen groupismo, obsesión, idiotez, lo que quieran. Pero el día que alguien conozco una décima parte de mi vida y comprenda cuánto ha podido ayudarme un desconocido, quizá, y sólo quizá, pueda entender el agradecimiento y amor que le proceso a este ángel.





martes, 3 de julio de 2012

Houses of Healing

-Bueno, será mejor que vengas conmigo enseguida. Me gustaría poder llevarte en brazos. No puedos seguir a pie. No sé cómo te permitieron caminar; pero tienes que perdonarlos. Han ocurrido tantas cosas terribles que es fácil pasar inadvertido.

-No siempre es una desgracia pasar inadvertido. Hace un momento pasé inadvertido… No, no, no puedo hablar. ¡Ayúdame! El día se oscurece otra vez, y mi brazo está tan frío.

-¡Apóyate en mí, muchacho! ¡Adelante! Primero un pie, y luego el otro. No es lejos.

-¿Me llevas a enterrar?

-¡Claro que no! –dijo tratando de parecer alegre, aunque tenía el corazón destrozado por la piedad y el miedo-. No, ahora iremos a las Casas de Curación.
 
 
No more words to say.

Randomind

Astillada del hastío de la vida. Existencialismo. Demoler los cimientos en los que antes había edificado su idea de vida sin sustituírlos por otros más sólidos. Tinieblas. Penumbra. Franz Kafka. Abismo. Apatía. Fatiga. Veneno corriendo por mis venas. Decepciones. Traición. Sangre. Lord Byron. Danza lánguida. Tedio. Abulia. Desidia. El océano color de hierro. Desinterés. Desgana. No amé al mundo, ni el mundo me quiso a mí. Allí donde mi corazón y mi alma permanecieron. Alma esclavizada, agotada por el dolor. Nunca ha danzado con la luz. Largos gritos donde la demencia parece el infierno. Estaba con ellos, pero no era de ellos. Toda belleza es ironía. Extraño deambulante. Recuerdos de otro mundo. Cielo errante. Oscuro bosque dormitando. Igual que en las grandes historias llenas de oscuridad y de constantes peligros, esas de las que no quieres saber el final. El amor es letal. Traté de hacerte ver, pero no pude encontrar las palabras. Sin hogar. El vivo sentimiento de no pertenecer a aquí. Ecos de la noche. Mirtazaprina. Para encontrar el sueño en el fondo del océano. Moulin Rouge. Mis pensamientos se ahogan en el horizonte. Thirteen. Citalopram. Veronika decide morir. Cómo se retoma el hilo de toda una vida. Tema de Staine. Pequeño erizo. Duro como una roca. Vivir es fácil con los ojos cerrados. Casas de Curación. La canción de Arwen. Donde vuelan sus cuervos. Áthelas. Kronenbourg. Novia cadáver. Estuve y estaré solo, recordado u olvidado.


FF

I never really had a lot of friends. Maybe because I do not trust in people, maybe because the world does not trust me. Anyway, my few friends mean everything to me. I am a person who consider loyalty to a friend above everything. Any secret, any painfull comment, any bad new, is under my loyalty feeling.

And unfortunately, each day you realise that those few friends are less, day by day. If you do something good for them, they will come back it bad. If you take physical risk for them, the will ignore you. If you take social risk for them, the will betray you... And so so so on. Finally you feel that it not worth to carry on. And you stay alone.

I do not like to fuck up people, really. Everything I do has just a good finality. Not for everybody, but to someone I think he deserves help for someone.  When I can be that person I try to carry on, assuming all the consequences. But when your effort is not reconised, and not only that, but they turn against you, you can only say:
FUCK PEOPLE. BETTER STAY ALONE.


lunes, 2 de julio de 2012

Y si caigo, ¿qué es la vida?

I see my life like a ship in the rain,
sometimes lost in the ocean.
There's no aim, it's drifting away.

There's no wind to set it in motion
silence spreads its wings in the air.
I can hear the waves whispering...


And then I know what life means to me.

domingo, 1 de julio de 2012

Jours perdus.

Je sais que ce n'était qu'une page, mais elle avait tous mes jours, sentiments, larmes, sourires, mots et réflexions. Elle avait chaque lieu visité, chaque chanson ecoutée, chaque livre lu. Toutes les personnes qu'ont eu un minimun d'attention ont passé par là. Tous les mois j'ai exprimé mon coeur, en fait, c'était toutes les semaines. Grâce à elle, je souviens l'heure et le jour de la semaine que j'ai fait la chose plus absurde. J'ai pu examiner mon état d'esprit, en passant un chemin très dur à suivi. Et je me suis récuperée parce que j'ai vu mes erreurs passés. J'avais la possibilité de me connaître comme personne peut se connaître soi-même. Je pouvais savoir comme je  me sentais il y a trois ans seulement en voyant une photo miniscule. Mais tout est fini.

Oh putain que ça fait mal... Ils m'ont volé ma vie sans savoir les répercutions que ça aura. Je ne souviens pas meme ce que j'ai fait ce matin. Combien des crises j'ai pu avoir, et le vent s'a envolé avec... Ne souvenir pas les hommes, les fêtes, les bières, les chansons, les livres, les films, ne souvenir rien. Rien du tout. Ne vivre pas. N'apprendre pas. Ne comprendre pas. Oui, je sais que ce n'était qu'une page, mais elle avait tout.


miércoles, 30 de mayo de 2012

But it is not this day.

Veo en vuestra mirada el miedo que encogería mi corazón. Pudiera llegar el día en que el valor de los hombres decayera, en que olvidáramos a nuestros compañeros y se rompieran los lazos de nuestra comunidad; pero hoy no es ese día. En que una horda de lobos y escudos rotos rubricaran la consumación de la Edad de los Hombres. ¡Pero hoy no es ese día! ¡En este día lucharemos! ¡Por todo aquello que vuestro corazón ama de esta buena tierra, os llamo a luchar! ¡Hombres del Oeste!

jueves, 5 de abril de 2012

Lost in despair.


I was lost on my own and I couldn't bear the thought of my life.
I was gone, caught in the torturing memories that burned like fire.
Water can never heal such pain…

Take me away, bury me in the sand.
Cause after all these years I am still the same…
A sad and bitter woman.

Crush my hope. Grow my hate.
There's no home for me.
Nothing to give; nothing to say.
So tell me it's a dream…

martes, 3 de abril de 2012

I'm leaving.


Here I am, writing my last song for you. I can't stay another day. I'll throw the pages on the floor. I'm starting over like before. I'll change this stupid ending and stay with you forever more. But when I'm lying next to you it's hard to bargain with the truth, cause when you know the love is gone the time has come to write your last song... There you are smiling at me from the next room, beautiful as the first day I met you. And I'm so sorry. I couldn't be the one to love you the way that you deserve to be.


It's hard to think of you and I as total strangers.
I've lived this last goodbye a million times or more in my mind.


I'm gonna miss you but I can't go back.
Even just to kiss you cause I can't exist just living a lie.

It's killing me to know that it's your last song.

lunes, 2 de abril de 2012

Wunjo V


As the moon grows and the circle is complete
she lies down and waits for sleep.
But there's always a scenery in her mind
of all that beauty he once left behind...

domingo, 1 de abril de 2012

Underbust.

Dibujos de fresas machacadas a palazos que acaban convirtiéndose en ríos de sangre. Calaveras con plumas y tinteros; frascos de datura stramonium de los que salen venas y arterias. Y una novia cadáver. Cicatrices de guerra que acabarán, sea como sea, en la piel.

They ask me to write a diary but I feel completely unable. The only real diary I have written has not fruits but griefs. Drawings rest in paper while words are kept. I just cannot behave like ordinary people. Do not depend someone. Do not show affection. Do not live like all of them.


Living is easy with eyes closed, misunderstanding all you see.
It's getting hard to be someone but it all works out. It doesn't matter much to me.
I'm going to Strawberry Fields where nothing is real and nothing to get hung about.

Wunjo IV


She will ride across land and time
to find a way through this endless night.
There's a storm in her heart and the fire burns her soul,
but the wanderer's part is to ride alone.

jueves, 29 de marzo de 2012

Wunjo III


Not the shout of a hundred enemies
can make her feel fear inside her.
But when sun sets and the cold arrives,
with crushing solitude in the darkness of night...

miércoles, 28 de marzo de 2012

Wunjo II


Unlike some which are too deep to see.
Like scars in a nomad's soul.
Their mending is so slow...

viernes, 16 de marzo de 2012

The end of light.

Sólo son las dos, y ya atardece. Atardece donde las costillas son los rayos de la poca luz que queda. Atardece en un corazón donde la banda sonora era el correr de la sangre azul. Atardece en la Alhambra, donde aquel sol murió contemplando lo que más tarde moriría. Atardece sobre el río, donde el frío y el miedo arremetieron contra el calor y la confianza. Atardece sobre mejillas barnizadas de besos, desgastadas por la dulce lluvia de los ojos. Atardece en la carretera que unía lo ahora desunido. Atardece un domingo de noviembre, llevándose al oeste la luz, y la luz. Atardece en la estación que de tantas despedidas es testigo. Atardece incluso en la Puerta del Sol. Atardece en mí, en ti; en nosotros. Y ya no hay amanecer.

No amé al mundo, ni el mundo me quiso a mí.


No adulé sus jerarquías, ni incliné
paciente rodilla a sus idolatrías.
No he forzado sonrisas en mis mejillas,
ni gritado adorando un eco;
entre la multitud no me contaron como uno más.
Estaba con ellos, pero no era de ellos.
Estuve y estaré solo, recordado u olvidado.


domingo, 11 de marzo de 2012

sábado, 10 de marzo de 2012

Cuitas.


Cada palabra que profería era como una espada que me atravesaba el corazón. Él no comprendía que habría sido más caritativo el silenciarme todo aquello. ¡Cómo iban a reírse y regocijarse con el castigo a mi arrogancia y desprecio quienes hacía tiempo me lo estaban echando en cara! Querría que alguien se atreviera a reprochármelo para poderle atravesar el pecho con la espada; viendo correr la sangre me sentiría mejor. ¡Ah! He empuñado cien veces el cuchillo para dar aliento a este oprimido corazón. Cuentan que hay una raza noble de caballos que, cuando se sienten muy sofocados y batidos, se muerden ellos mismos, por instinto, una vena para poder recobrar el aliento. Lo mismo me ocurre a mí muchas veces: quisiera abrirme una vena que me procurase la libertad eterna.

domingo, 4 de marzo de 2012

Uno, dos y tres capullos.

Una zorra. Otro tatu. Clases. Resaca. Ensayo. Flipaera. Título. Blá, blá, blá...


lunes, 27 de febrero de 2012

You are lost...


Where once was light, now darkness falls.

Where once was love, love is no more.
Don't say goodbye. Don't say I didn't try...

These tears we cry are falling rain,
for all the lies you told
us.
The hurt, the blame, and we will weep to be so alone.
We are lost. We can never go home...

So in the end, I'll be what I will be.
No loyal friend was ever there for me.
Now we say goodbye. We say you didn't try..

And you will weep when you face the end alone.

miércoles, 22 de febrero de 2012

Tel un étranger errant...


Sur cette terre, esseulée, en perpétuel détachment.
J'entends en moi l'appel d'un autre univers qui résonne amèrement.
Les yeux rivés vers le ciel portant le fardeau de mon corps.
Là où naissent les couleurs nouvelles. Là où coeur et mon àme sont restés.

martes, 21 de febrero de 2012

Sorgens kammer.


http://www.youtube.com/watch?v=vrNjG_KQJrk&noredirect=1
http://www.youtube.com/watch?v=ZiS8_w5yDjQ

...H E L L P

lunes, 20 de febrero de 2012

La voz a ti debida.

Si me llamaras, sí, ¡si me llamaras!
Lo dejaría todo, todo lo tiraría:
los precios, los catálogos, el azul del océano en los mapas,
los días y sus noches, los telegramas viejos
y un amor.

Tú, que no eres mi amor, ¡si me llamaras!
Y aún espero tu voz: telescopios abajo,
desde la estrella, por espejos, por túneles,
por los años bisiestos puede venir.
No sé por dónde.
Desde el prodigio, siempre.

Porque si tú me llamas
«¡si me llamaras, sí, si me llamaras!»
será desde un milagro, incógnito, sin verlo.

Nunca desde los labios que te beso, nunca desde la voz que dice: «No te vayas».

domingo, 19 de febrero de 2012

Verdades como puños (Vol.?)

No fui del todo sincera con la explicación de mi tercer tatuaje.


Cualquier indicio de mejora es sólo un insulto. No se irán las voces, ni los pasillos de la izquierda de la primera planta, ni los viernes en Málaga, ni los miligramos con el colacao, ni los miligramos antes de dormir, ni la baba blanca en la almohada, ni los castigos, ni el sueño, ni los dibujos de las fresas. Por muchos tatuajes que me haga y por muchas cicatrices de guerra que tenga, citando a Shakespeare he de decir « Je dois partir et vivre ou rester et mourir ».


TU VOZ ES UN VENENO

jueves, 16 de febrero de 2012

Someone calls me.


How do you pick up the threads of an old life? How do you go on, when in your heart, you begin to understand there is no going back? There are some things that time cannot mend. Some hurts that go too deep… that have taken hold.


I'm leaving today, sorry is not enough. Like so many things we were lost forever. I can't turn the hands of time, back to the way it was, I can only go on to find a better road. I can't stop you now, my back's against the wall. You had such a foolish heart, you thought it would last forever. But you were the one that brought it to an end. Now I'm standing in the rain cause I wasn't there for you such a fool was I. It should have never been.


Life goes on without you.
There's nothing left for me. There's only so many tears you can cry, only so many ways you can say goodbye…

Amor constante más allá de la muerte.


Serán ceniza, mas tendrá sentido;
Polvo serán, mas polvo enamorado.

miércoles, 15 de febrero de 2012

Broken


You've gone away, you don't feel me, here anymore.

Cause I'm broken when I'm lonesome and I don't feel right when you're gone away...

martes, 14 de febrero de 2012

Barcelona.


Un encuentro muy esperado con una peliazul muy dasjahgsd ♥


Una prima a la que llevaba 11 años sin ver.

Una pelirrosa preciosa.


Un concierto BRUTAL.
3 grupos, 2 púas, 1 baqueta.
Alcest y Les Discrets me han robado el puto corazón.
Mi amor por Francia aumenta en tanto que parió a Neige.
Os digo de verdad que lo amo con todo el black metal de mi alma.


http://www.youtube.com/watch?v=FsPhH2QjKPI&feature=player_embedded


En resumen, un fin de semana PERFECTO, que acabó con un lunes perfecto.